[Appartement 1] You're never alone. (Solo)
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[Appartement 1] You're never alone. (Solo)
You're never alone.
FT. UN AUTRE JAN
FT. UN AUTRE JAN
Il s’ennuie.
Jan est devant la porte de son appartemment et s’apprête à rentrer, mais il fait une pause, et reste immobile un petit moment. Il n’est entouré que par du silence, mais tend tout de même l’oreille, écoutant le moindre bruit venant de l’intérieur, afin de s’assurer qu’il n’y a personne.
C’est idiot, car Jan sait parfaitement que ses voisins ne sont pas là. Il a d’ailleurs prévu très précisément à quelle heure il devrait partir le matin, puis revenir, afin de les éviter.
Que cela soit en leur demandant ou en les observant, Jan a défini leur programme du jour et sait parfaitement ce qu’ils vont faire, à quelle heure ils sont partis, et à quelle heure ils rentreront.
Il n’a même pas fait exprès de le rechercher. Il n’a pas cherché à vraiment s'isoler dans l'immeuble de base, mais il s’est retrouvé avec ces informations, et il s’est aussi, finalement, trouvé qu’aujourd’hui, être esseulé l'intéressait fortement.
Il est parti le matin avant eux, afin de se promener. Il ne les a pas évités parce qu’il ne les aime pas, mais tout simplement parce qu’il aime bien être seul le matin, tout autant que de l’air frais peut lui faire du bien.
À l’heure qu’il est, ils doivent être partis. Non, ils le sont.
Ce n’est que par précaution que Jan recherche un bruit.
« Parce que t’es parano. », une pensée lui envoie-t-elle.
Si tôt dans la journée, et ce n’est pas la première pensée qui l’agresse. Même quand il le veut, il ne peut jamais être seul.
Il entre. Effectivement, il n’y a personne. Et il n’y aura personne avant très tard dans l’après-midi. Or, il est peut-être dix heures et demie.
Il ferme la porte derrière lui, fait quelque pas dans la pièce, et s’immobilise une fois de plus, fixant droit devant lui.
Il a croisé quelques personnes ce matin, durant sa promenade. Des inconnus à qui il a souri, des connaissances qu’il a saluées, le sourire aux lèvres, l’air confiant, comme toujours.
Car ainsi est Jan. Toujours souriant, l’air confiant, intelligent, et plein de charisme.
Vraiment ?
« Menteur, menteur, menteur, menteur, menteur »
Il doit être fatigué aujourd’hui. Ses pensées le hantent. Elles l’obsèdent.
Il n’arrive plus à penser à autre chose que son propre mensonge.
Pourquoi a-t-il si besoin d’être seul ?
Il se sent si confus. Pourtant, Jan n’est jamais confus.
Vraiment ?
Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ?
Bien sûr que non.
Jan est toujours confus. Jan n’a jamais confiance en rien.
Vraiment ?
Ou sûrement a-t-il confiance.
Il n’en sait rien.
Il jette sa veste sur une chaise, et s’assoit sur son lit. Il fixe encore le vide quelques secondes… Et laisse ses pensées l’envahir.
« Menteur »
« T’es nul »
« T’es faux »
« Tu ne mens même plus qu’aux autres, tu te mens à toi-même »
« Menteur »
« Arrête »
« Sale menteur »
Rien ne semble les arrêter. Comme si quelqu’un à l’intérieur de lui ne cessait pas de l’insulter.
Il aimerait les faire taire, mais n’y arrive pas. Il s’enfonce la tête entre les mains.
Il tente de leur répondre, pour leur dire qu’elles ont tort, comme si ces pensées n’étaient pas les siennes. Il ne veut pas les écouter mais ne fait que ça ; et elles accélèrent, et sont des plus en plus nombreuses, et elles l’attaquent, ne se taisant jamais.
Elles forment en lui comme un bruit, un bruit terrible que seules ces pensées silencieuses peuvent produire. Un bruit plus terrible que n’importe quel bruit, un bruit qui rend Jan fou.
« Mais tu es déjà fou », lui dit une pensée, vaguement plus claire, au-dessus des autres.
« Non… », pense-t-il, mais cette pensée se mêle aux autres, et commence à se répéter en boucle. « Non… Non… Non… Non… N »
Si seulement il pouvait se taire. Il serre ses mains toujours posées contre son visage, se tirant les cheveux.
Ces pensées qui sont toujours en lui… Il veut qu’elles se taisent, qu’elles cessent de l’insulter, qu’elles cessent d’avoir raison !
« Taisez-vous, taisez-vous, taisez-vous ! », se répète en lui.
Jan ne peut-il pas apprécier une journée de repos, seul ? Pourquoi y a-t-il toujours une autre personne à l’intérieur de lui, une personne horrible, une personne qu’il est, une personne qu’il ne veut pas être, une personne qu’il cache derrière un mensonge ?
« Tu veux devenir un mensonge »
Mensonge, mensonge, mensonge, mensonge, mensonge, mensonge !
Tout semble crier en lui.
La chambre est emplie de silence, mais sa tête est pleine de bruit.
Ses poings se serrent, se serrent, se serrent. Les pensées tournent, et se retournent, et montent, et descendent, et n’arrêtent jamais. Elles sont de plus en plus, et de plus en plus cruelles.
Pourquoi Jan ne peut-il pas être celui qu’il prétend être ?
POURQUOI ?
Sans même s’en rendre compte, Jan a donné un grand coup de poing dans sa jambe.
Une terrible douleur se répand, et il peut être sûr qu’il aura un bleu.
Mais cela ne le calme pas. Non. Non. Un deuxième coup. Un troisième coup.
Et les pensées ne se taisent toujours pas.
« STOP STOP STOP STOP STOP »
Un quatrième coup. Une milliseconde, les pensées s’arrêtent. Ça fait trop mal.
Jan le sait bien. Il ne suffit que de ça pour les faire taire – ou le sait il réellement ? Se rend-t-il vraiment compte de ce qu’il est en train de faire ?
S’en rend-t-il compte, quand il se griffe les bras violemment, laissant ses bras saignants, plein de cicatrices qui, si elles ne sont pas profondes, existent bel et bien ?
S’en rend-t-il compte, quand il se mord la main si fort qu’il en saigne ?
À la fois oui ; à la fois non. Il s’en rend assez compte pour savoir que seule la douleur met une pause à ses pensées, mais il ne s’en rend pas assez compte pour réaliser.
Il se tire les cheveux.
Un fou, il a l’air d’un fou.
« Mais tu es fou »
« STOP STOP STOP ST »
Jan se lève soudainement, et violemment donne un coup de poing dans le mur.
La douleur est atroce ; mais ce n’est pas ce qui le ramène à la réalité.
Un énorme son résonne dans toute la pièce, et l’impact fait bouger un grand coup les meubles contre ce mur.
Ébahi, il recule. L’a-t-on entendu ? S’il y avait quelqu’un derrière le mur, ou même n'importe où dans l'immeuble, tant le coup a résonné, il l’a sûrement entendu. Oh mon Dieu, que dirait-il ? Une personne saine ne pourrait jamais frapper un mur aussi fort. Une personne saine ne frapperait même pas le mur.
Il tombe assis sur son lit. Le revoilà revenu dans le monde réel ; et il a mal, il a mal à la jambe, aux bras, aux mains. Il les regarde, et voit qu’il saigne.
« Fou. Je suis fou. »
Les personnes qu’il a croisées ce matin… avec qui il a échangé un bonjour chaleureux, ou un regard malin… pourraient-elles imaginer que la même personne, quelques minutes après, serait là, à se griffer, se mordre, et se frapper comme un dément ?
Jan, lui-même, se demande si c’est réellement la même personne.
Et il sait à la fois que oui, et non.
Combien de personnes est-il à la fois ?
Trop.
Certaines sont de sa faute. Certaines ne le sont pas. Certaines sont des mensonges. Certaines sont trop réelles.
Il se lève, et va dans la salle de bain se rincer bras et mains. Il vérifie qu’il ne s’est pas griffé ou mordu ailleurs, car il ne se souvient de rien. Il pose ensuite sa main sur sa jambe, et peut déjà sentir le bleu présent.
Heureusement, il pourrait cacher ses jambes et ses bras. Quant à sa main, il n’aurait qu’à inventer un mensonge… comme d’habitude. Et ce ne serait pas un problème. Personne ne ment mieux que Jan.
Il soupire. Il lève la tête, et se regarde dans le miroir.
« Qui es-tu ? »
L’avantage est que ses pensées se sont calmées.
Il sort de la salle de bain, et s’assied en tailleur sur son lit.
Personne n’est venu frapper à la porte. C’est bon signe.
Il n’a rien à faire… Et il n’y a rien à faire. Il se perd dans ses pensées.
Et repense aux choses négatives.
Ça recommence. Mais que peut-il y faire ?
Rien.
Jan n’est jamais seul.
Jan est devant la porte de son appartemment et s’apprête à rentrer, mais il fait une pause, et reste immobile un petit moment. Il n’est entouré que par du silence, mais tend tout de même l’oreille, écoutant le moindre bruit venant de l’intérieur, afin de s’assurer qu’il n’y a personne.
C’est idiot, car Jan sait parfaitement que ses voisins ne sont pas là. Il a d’ailleurs prévu très précisément à quelle heure il devrait partir le matin, puis revenir, afin de les éviter.
Que cela soit en leur demandant ou en les observant, Jan a défini leur programme du jour et sait parfaitement ce qu’ils vont faire, à quelle heure ils sont partis, et à quelle heure ils rentreront.
Il n’a même pas fait exprès de le rechercher. Il n’a pas cherché à vraiment s'isoler dans l'immeuble de base, mais il s’est retrouvé avec ces informations, et il s’est aussi, finalement, trouvé qu’aujourd’hui, être esseulé l'intéressait fortement.
Il est parti le matin avant eux, afin de se promener. Il ne les a pas évités parce qu’il ne les aime pas, mais tout simplement parce qu’il aime bien être seul le matin, tout autant que de l’air frais peut lui faire du bien.
À l’heure qu’il est, ils doivent être partis. Non, ils le sont.
Ce n’est que par précaution que Jan recherche un bruit.
« Parce que t’es parano. », une pensée lui envoie-t-elle.
Si tôt dans la journée, et ce n’est pas la première pensée qui l’agresse. Même quand il le veut, il ne peut jamais être seul.
Il entre. Effectivement, il n’y a personne. Et il n’y aura personne avant très tard dans l’après-midi. Or, il est peut-être dix heures et demie.
Il ferme la porte derrière lui, fait quelque pas dans la pièce, et s’immobilise une fois de plus, fixant droit devant lui.
Il a croisé quelques personnes ce matin, durant sa promenade. Des inconnus à qui il a souri, des connaissances qu’il a saluées, le sourire aux lèvres, l’air confiant, comme toujours.
Car ainsi est Jan. Toujours souriant, l’air confiant, intelligent, et plein de charisme.
Vraiment ?
« Menteur, menteur, menteur, menteur, menteur »
Il doit être fatigué aujourd’hui. Ses pensées le hantent. Elles l’obsèdent.
Il n’arrive plus à penser à autre chose que son propre mensonge.
Pourquoi a-t-il si besoin d’être seul ?
Il se sent si confus. Pourtant, Jan n’est jamais confus.
Vraiment ?
Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ? Vraiment ?
Bien sûr que non.
Jan est toujours confus. Jan n’a jamais confiance en rien.
Vraiment ?
Ou sûrement a-t-il confiance.
Il n’en sait rien.
Il jette sa veste sur une chaise, et s’assoit sur son lit. Il fixe encore le vide quelques secondes… Et laisse ses pensées l’envahir.
« Menteur »
« T’es nul »
« T’es faux »
« Tu ne mens même plus qu’aux autres, tu te mens à toi-même »
« Menteur »
« Arrête »
« Sale menteur »
Rien ne semble les arrêter. Comme si quelqu’un à l’intérieur de lui ne cessait pas de l’insulter.
Il aimerait les faire taire, mais n’y arrive pas. Il s’enfonce la tête entre les mains.
Il tente de leur répondre, pour leur dire qu’elles ont tort, comme si ces pensées n’étaient pas les siennes. Il ne veut pas les écouter mais ne fait que ça ; et elles accélèrent, et sont des plus en plus nombreuses, et elles l’attaquent, ne se taisant jamais.
Elles forment en lui comme un bruit, un bruit terrible que seules ces pensées silencieuses peuvent produire. Un bruit plus terrible que n’importe quel bruit, un bruit qui rend Jan fou.
« Mais tu es déjà fou », lui dit une pensée, vaguement plus claire, au-dessus des autres.
« Non… », pense-t-il, mais cette pensée se mêle aux autres, et commence à se répéter en boucle. « Non… Non… Non… Non… N »
Si seulement il pouvait se taire. Il serre ses mains toujours posées contre son visage, se tirant les cheveux.
Ces pensées qui sont toujours en lui… Il veut qu’elles se taisent, qu’elles cessent de l’insulter, qu’elles cessent d’avoir raison !
« Taisez-vous, taisez-vous, taisez-vous ! », se répète en lui.
Jan ne peut-il pas apprécier une journée de repos, seul ? Pourquoi y a-t-il toujours une autre personne à l’intérieur de lui, une personne horrible, une personne qu’il est, une personne qu’il ne veut pas être, une personne qu’il cache derrière un mensonge ?
« Tu veux devenir un mensonge »
Mensonge, mensonge, mensonge, mensonge, mensonge, mensonge !
Tout semble crier en lui.
La chambre est emplie de silence, mais sa tête est pleine de bruit.
Ses poings se serrent, se serrent, se serrent. Les pensées tournent, et se retournent, et montent, et descendent, et n’arrêtent jamais. Elles sont de plus en plus, et de plus en plus cruelles.
Pourquoi Jan ne peut-il pas être celui qu’il prétend être ?
POURQUOI ?
Sans même s’en rendre compte, Jan a donné un grand coup de poing dans sa jambe.
Une terrible douleur se répand, et il peut être sûr qu’il aura un bleu.
Mais cela ne le calme pas. Non. Non. Un deuxième coup. Un troisième coup.
Et les pensées ne se taisent toujours pas.
« STOP STOP STOP STOP STOP »
Un quatrième coup. Une milliseconde, les pensées s’arrêtent. Ça fait trop mal.
Jan le sait bien. Il ne suffit que de ça pour les faire taire – ou le sait il réellement ? Se rend-t-il vraiment compte de ce qu’il est en train de faire ?
S’en rend-t-il compte, quand il se griffe les bras violemment, laissant ses bras saignants, plein de cicatrices qui, si elles ne sont pas profondes, existent bel et bien ?
S’en rend-t-il compte, quand il se mord la main si fort qu’il en saigne ?
À la fois oui ; à la fois non. Il s’en rend assez compte pour savoir que seule la douleur met une pause à ses pensées, mais il ne s’en rend pas assez compte pour réaliser.
Il se tire les cheveux.
Un fou, il a l’air d’un fou.
« Mais tu es fou »
« STOP STOP STOP ST »
Jan se lève soudainement, et violemment donne un coup de poing dans le mur.
La douleur est atroce ; mais ce n’est pas ce qui le ramène à la réalité.
Un énorme son résonne dans toute la pièce, et l’impact fait bouger un grand coup les meubles contre ce mur.
Ébahi, il recule. L’a-t-on entendu ? S’il y avait quelqu’un derrière le mur, ou même n'importe où dans l'immeuble, tant le coup a résonné, il l’a sûrement entendu. Oh mon Dieu, que dirait-il ? Une personne saine ne pourrait jamais frapper un mur aussi fort. Une personne saine ne frapperait même pas le mur.
Il tombe assis sur son lit. Le revoilà revenu dans le monde réel ; et il a mal, il a mal à la jambe, aux bras, aux mains. Il les regarde, et voit qu’il saigne.
« Fou. Je suis fou. »
Les personnes qu’il a croisées ce matin… avec qui il a échangé un bonjour chaleureux, ou un regard malin… pourraient-elles imaginer que la même personne, quelques minutes après, serait là, à se griffer, se mordre, et se frapper comme un dément ?
Jan, lui-même, se demande si c’est réellement la même personne.
Et il sait à la fois que oui, et non.
Combien de personnes est-il à la fois ?
Trop.
Certaines sont de sa faute. Certaines ne le sont pas. Certaines sont des mensonges. Certaines sont trop réelles.
Il se lève, et va dans la salle de bain se rincer bras et mains. Il vérifie qu’il ne s’est pas griffé ou mordu ailleurs, car il ne se souvient de rien. Il pose ensuite sa main sur sa jambe, et peut déjà sentir le bleu présent.
Heureusement, il pourrait cacher ses jambes et ses bras. Quant à sa main, il n’aurait qu’à inventer un mensonge… comme d’habitude. Et ce ne serait pas un problème. Personne ne ment mieux que Jan.
Il soupire. Il lève la tête, et se regarde dans le miroir.
« Qui es-tu ? »
L’avantage est que ses pensées se sont calmées.
Il sort de la salle de bain, et s’assied en tailleur sur son lit.
Personne n’est venu frapper à la porte. C’est bon signe.
Il n’a rien à faire… Et il n’y a rien à faire. Il se perd dans ses pensées.
Et repense aux choses négatives.
Ça recommence. Mais que peut-il y faire ?
Rien.
Jan n’est jamais seul.
- Jan Lyons
Award de celui qui prend le plus la pose sur son avatar
Fiche de personnage
Âge: 17 ans
Origine(s): Anglais/Français
Nombres d'effractions : 1Jan Lyons - Award de celui qui prend le plus la pose sur son avatar
- Messages : 546
Date d'inscription : 10/08/2016
Appartement : Appartement 1, Résidence A
Re: [Appartement 1] You're never alone. (Solo)
You're never alone.
feat. Jan Lyons
Liberty est là.
Elle est apparue soudainement, mais tu ne l’as pas vue apparaître. Elle n’est pas passée par la porte, elle ne s’est pas annoncée.
Son visage n’exprime aucune émotion – ou s’il en exprime une, ce n’est que du sérieux.
En s’avance jusqu’à être en face de toi, et attend que tu la remarque.
Tu la remarques : dis-tu quelque chose ?
Si oui, elle n’y répondra rien, et restera impassible.
Après t’avoir fixé un moment, Liberty dit, d’une voix sévère et grave :
« Bonjour, M. Lyons. Auriez-vous l’amabilité de me montrer vos bras, mains et jambes ? »
Liberty attend ta réponse, l’air toujours impassible.
Elle est apparue soudainement, mais tu ne l’as pas vue apparaître. Elle n’est pas passée par la porte, elle ne s’est pas annoncée.
Son visage n’exprime aucune émotion – ou s’il en exprime une, ce n’est que du sérieux.
En s’avance jusqu’à être en face de toi, et attend que tu la remarque.
Tu la remarques : dis-tu quelque chose ?
Si oui, elle n’y répondra rien, et restera impassible.
Après t’avoir fixé un moment, Liberty dit, d’une voix sévère et grave :
« Bonjour, M. Lyons. Auriez-vous l’amabilité de me montrer vos bras, mains et jambes ? »
Liberty attend ta réponse, l’air toujours impassible.
- Liberty
IA réaliste
Liberty - IA réaliste
- Messages : 106
Date d'inscription : 05/11/2016
Re: [Appartement 1] You're never alone. (Solo)
You're never alone.
FT. LIBERTY
FT. LIBERTY
Jan reste assis en tailleur un moment, immobile, sur son lit. Sa tête est si pleine de pensées que c’est comme si elle était vide, et lui-même fixe le vide.
Les cicatrices sur ses bras saignent toujours, mais il ne les remarque même pas. La douleur est présente tout autant qu’elle est absente, et elle est peut-être la seule chose qui le retienne en ce monde.
Soudain, il lève la tête ; il ne sait pas pourquoi réellement, car à aucun moment n’a-t-il pensé lever la tête, ou même été en capacité d’y penser, mais il le fait.
Face à lui se trouve Liberty. Il ne l’a pas vue arriver, et n’a aucune idée depuis combien de temps elle est là, mais il ne semble pas surpris. Il la regarde sans laisser son visage exprimer quoi que ce soit, et toujours et encore, les pensées en son esprit sont si présentes qu’elles en sont absentes. C’est comme si voir Liberty apparaître n’éveillait rien en lui ; comme s’il n’était même pas surpris.
« Bonjour, M. Lyons. Auriez-vous l’amabilité de me montrer vos bras, mains et jambes ? », dit-elle, sans elle non plus sembler exprimer la moindre émotion.
Les paroles de Liberty ne répercutent d’abord pas dans l’esprit de Jan, comme s’il ne les avait tout simplement pas entendues. Quelques secondes, qui semblent être minutes, il continue à la fixer, le regard vide et le visage fantomatique, avant de finalement cligner des yeux.
Il cligne des yeux et baisse la tête ; il fixe toujours le vide mais enfin réfléchit.
« Eh ? »
Enfin le flot de pensées incessant cesse. L’espace d’une seconde Jan prend le temps de réaliser ce qu’il lui arrive, puis il regarde de nouveau l’intelligence artificielle dans les yeux.
« Elle est là depuis quand, elle ? », se demande-t-il, puis « Qu’est-ce qu’elle me veut ? »
Rapidement, il se rappelle qu’elle vient de lui parler. Il est persuadé de ne pas avoir écouté, mais dans sa tête se répète, avec la même voix et le même ton :
« Bonjour, M. Lyons. Auriez-vous l’amabilité de me montrer vos bras, mains, et jambes ? »
Comme si une partie de lui avait été présente sans lui, et avait écouté sans qu’il écoute, il se souvient exactement de ce qu’elle a dit.
« auriez-vous l’amabilité »
« amabilité amabilité »
L’espace d’une seconde, encore, Jan se demande pourquoi elle lui demanderait ça ; mais très rapidement, et soudainement, la douleur lui revient, et il se rappelle ; il se rappelle de la douleur dans sa jambe, et dans ses bras, et dans ses mains. Il se rappelle de ce qu’il a fait sans vraiment pouvoir le jauger, mais il semble enfin être revenu à la réalité.
Il bouge ses bras d’un millimètre pour se rappeler où ils sont ; entre ses jambes, serrés contre son ventre, mais il ne le savait même pas.
« montrer vos bras bras bras bras »
« montrer montrer montrer montrer mon »
« Comment elle est entrée ? »
« auriez-vous l’amabilité »
« Comment elle sait ? »
« et jambes »
Jan baisse le regard, fixant le pied de son lit. Sans même avoir à y penser, il a accepté le fait que Liberty sait, et que lui ne saurait rien. Sans même y réfléchir, il a accepté qu’il ne puisse pas mentir ; qu’il ne puisse pas prétendre être cet autre Jan.
« Pourquoi ? », demande-t-il d’une voix monotone, sans même lever les yeux pour la regarder.
« Pourquoi »
Il ne sent rien. Il n’est pas énervé, ni triste, ni quoi que ce soit. Tout ce qu’il ressent est la douleur dans ses bras, sur sa jambe, et dans sa main – et c’était bien là son but.
Son but est atteint ; remplacer une douleur par une autre.
Alors de quoi Liberty veut-elle se mêler ?
Jusqu’où va ce programme, s’il ne laisse pas Jan être Jan avec seulement Jan ?
Jan fixe Liberty. Son regard est vide. Comme s’il n’y avait personne en lui – comme s’il y avait tant de personnes qu’il n’y avait personne.
« Pourquoi »
« auriez-vous l’amabilité »
« M. Lyons »
« M. Lyons auriez-vous l’amabilité »
« montrer »
Les cicatrices sur ses bras saignent toujours, mais il ne les remarque même pas. La douleur est présente tout autant qu’elle est absente, et elle est peut-être la seule chose qui le retienne en ce monde.
Soudain, il lève la tête ; il ne sait pas pourquoi réellement, car à aucun moment n’a-t-il pensé lever la tête, ou même été en capacité d’y penser, mais il le fait.
Face à lui se trouve Liberty. Il ne l’a pas vue arriver, et n’a aucune idée depuis combien de temps elle est là, mais il ne semble pas surpris. Il la regarde sans laisser son visage exprimer quoi que ce soit, et toujours et encore, les pensées en son esprit sont si présentes qu’elles en sont absentes. C’est comme si voir Liberty apparaître n’éveillait rien en lui ; comme s’il n’était même pas surpris.
« Bonjour, M. Lyons. Auriez-vous l’amabilité de me montrer vos bras, mains et jambes ? », dit-elle, sans elle non plus sembler exprimer la moindre émotion.
Les paroles de Liberty ne répercutent d’abord pas dans l’esprit de Jan, comme s’il ne les avait tout simplement pas entendues. Quelques secondes, qui semblent être minutes, il continue à la fixer, le regard vide et le visage fantomatique, avant de finalement cligner des yeux.
Il cligne des yeux et baisse la tête ; il fixe toujours le vide mais enfin réfléchit.
« Eh ? »
Enfin le flot de pensées incessant cesse. L’espace d’une seconde Jan prend le temps de réaliser ce qu’il lui arrive, puis il regarde de nouveau l’intelligence artificielle dans les yeux.
« Elle est là depuis quand, elle ? », se demande-t-il, puis « Qu’est-ce qu’elle me veut ? »
Rapidement, il se rappelle qu’elle vient de lui parler. Il est persuadé de ne pas avoir écouté, mais dans sa tête se répète, avec la même voix et le même ton :
« Bonjour, M. Lyons. Auriez-vous l’amabilité de me montrer vos bras, mains, et jambes ? »
Comme si une partie de lui avait été présente sans lui, et avait écouté sans qu’il écoute, il se souvient exactement de ce qu’elle a dit.
« auriez-vous l’amabilité »
« amabilité amabilité »
L’espace d’une seconde, encore, Jan se demande pourquoi elle lui demanderait ça ; mais très rapidement, et soudainement, la douleur lui revient, et il se rappelle ; il se rappelle de la douleur dans sa jambe, et dans ses bras, et dans ses mains. Il se rappelle de ce qu’il a fait sans vraiment pouvoir le jauger, mais il semble enfin être revenu à la réalité.
Il bouge ses bras d’un millimètre pour se rappeler où ils sont ; entre ses jambes, serrés contre son ventre, mais il ne le savait même pas.
« montrer vos bras bras bras bras »
« montrer montrer montrer montrer mon »
« Comment elle est entrée ? »
« auriez-vous l’amabilité »
« Comment elle sait ? »
« et jambes »
Jan baisse le regard, fixant le pied de son lit. Sans même avoir à y penser, il a accepté le fait que Liberty sait, et que lui ne saurait rien. Sans même y réfléchir, il a accepté qu’il ne puisse pas mentir ; qu’il ne puisse pas prétendre être cet autre Jan.
« Pourquoi ? », demande-t-il d’une voix monotone, sans même lever les yeux pour la regarder.
« Pourquoi »
Il ne sent rien. Il n’est pas énervé, ni triste, ni quoi que ce soit. Tout ce qu’il ressent est la douleur dans ses bras, sur sa jambe, et dans sa main – et c’était bien là son but.
Son but est atteint ; remplacer une douleur par une autre.
Alors de quoi Liberty veut-elle se mêler ?
Jusqu’où va ce programme, s’il ne laisse pas Jan être Jan avec seulement Jan ?
Jan fixe Liberty. Son regard est vide. Comme s’il n’y avait personne en lui – comme s’il y avait tant de personnes qu’il n’y avait personne.
« Pourquoi »
« auriez-vous l’amabilité »
« M. Lyons »
« M. Lyons auriez-vous l’amabilité »
« montrer »
- Jan Lyons
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Fiche de personnage
Âge: 17 ans
Origine(s): Anglais/Français
Nombres d'effractions : 1Jan Lyons - Award de celui qui prend le plus la pose sur son avatar
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Appartement : Appartement 1, Résidence A
Re: [Appartement 1] You're never alone. (Solo)
You're never alone.
feat. Jan Lyons
Liberty te fixe un instant. Elle semble d’abord hésitante, puis mécontente.
Elle entrouvre sa bouche, et fronce les sourcils ; l’espace d’un instant, Liberty questionne ton humanité.
« Ce n’est, M. Lyons, qu’un contrôle de routine ; comme vous le savez sûrement, il est à l’intérieur de la ville strictement interdit d’infliger tout acte de violence. », te dit-elle.
Elle avance d’un pas vers toi.
« Nous ne doutons bien sûr pas un seul instant de votre respect des règles, M. Lyons – et pour le prouver, veuillez me montrer vos bras, mains et jambes. »
Liberty baisse le regard pour regarder, dans l’ordre, tes bras, mains et jambes. Elle arbore un air sévère sans rien de plus particulier, et semble attendre que tu lui obéisses.
Elle entrouvre sa bouche, et fronce les sourcils ; l’espace d’un instant, Liberty questionne ton humanité.
« Ce n’est, M. Lyons, qu’un contrôle de routine ; comme vous le savez sûrement, il est à l’intérieur de la ville strictement interdit d’infliger tout acte de violence. », te dit-elle.
Elle avance d’un pas vers toi.
« Nous ne doutons bien sûr pas un seul instant de votre respect des règles, M. Lyons – et pour le prouver, veuillez me montrer vos bras, mains et jambes. »
Liberty baisse le regard pour regarder, dans l’ordre, tes bras, mains et jambes. Elle arbore un air sévère sans rien de plus particulier, et semble attendre que tu lui obéisses.
- Liberty
IA réaliste
Liberty - IA réaliste
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Re: [Appartement 1] You're never alone. (Solo)
You're never alone.
FT. LIBERTY ET JAN
FT. LIBERTY ET JAN
« Ce n’est, M. Lyons, qu’un contrôle de routine ; comme vous le savez sûrement, il est à l’intérieur de la ville strictement interdit d’infliger tout acte de violence. »
« M. Lyons »
« Nous ne doutons bien sûr pas un seul instant de votre respect des règles, M. Lyons – et pour le prouver, veuillez me montrer vos bras, mains et jambes. »
« nous ne doutons bien sûr »
« nous ne doutons bien sûr pas »
Jan ne détourne que légèrement le regard afin de ne plus fixer Liberty dans les yeux ; c’est une habitude qu’il a prise tout simplement pour ne pas sembler étrange lors de ses conversations, et si le fait que Liberty ne soit qu’une intelligence artificielle qui ne pense pas de choses telles lui traverse rapidement l’esprit, il décide d’ignorer cette pensée.
Il décide en réalité d’ignorer toutes ses pensées, et ne fixe le vide à côté de Liberty qu’un court instant, avant d’à nouveau la regarder dans les yeux.
Jan remonte ses manches, et ouvre clairement ses mains. Il ne les regarde lui-même pas, mais il fait en sorte qu’elle puisse clairement les voir. Il ne prend pas la peine de penser à ses jambes. Il sait que cela lui suffirait.
Il la regarde dans les yeux. Dans ses yeux vides, ses yeux qui ne sont que des caméras, de drôles de caméras qui retiennent et analysent. Il n’attend pas de réaction de sa part – enfin, il en attend une tout comme il n’en attend pas. Il sait qu’il y en aura une tout autant qu’il n’y en aura pas.
Il sait qu’elle fera quelque chose, mais il est obligé de s’admettre qu’il ne sait pas quoi.
« Il est à l’intérieur de la ville strictement interdit d’infliger tout acte de violence. »
Jan, en prenant connaissance de cette règle, a pensé qu’il ne risquerait jamais d’avoir de problème avec elle, mais ce n’est que maintenant qu’il réalise en quoi le sens biaisé de la justice de Liberty, ou ceux qui se trouvent derrière elle, ne le laissera pas vivre. Il se sent révolté par ce qu’il voit comme une injustice, une atteinte à sa liberté, mais il sait, en même temps, il sait…
Que tout cela n’est que pour son bien. Car après tout, un humain sain n’aurait pas non plus laissé Jan se faire ce qu’il se faisait, s’il l’avait vu ; or Liberty l’a vu, et ne le laisse pas faire. Ce n’est que normal, après tout, même si chez un humain cela aurait été lié à des sentiments, alors que chez Liberty ce n’est lié qu’à de la pure logique, qu’à des calculs.
La seule chose anormale est que Liberty aie pu le voir en soi, mais Jan savait, après tout, qu’il était surveillé. Ce n’est que sa faute, vraiment… Car jamais n’aurait-il dû s’infliger une telle chose.
Jan, si parfait, si charismatique – comment peut-il oser faire du mal à ce Jan ? Comment peut-il oser mutiler l’image de ce bel homme ?
Bien sûr qu’il mérite punition – mérite-t-il seulement la vie ?
« nous ne doutons bien sûr pas un seul instant de votre respect des règles »
« je m’en fous je m’en fiche je m’en fous »
« nous ne doutons »
« sale pute »
« strictement interdit »
« kr je te hais »
« acte de violence
acte de violence
violence »
Jan montre ses bras et ses mains, et attend. Il ne sait pas précisément ce qu’il attend, mais il ne bouge pas – il ne rebellera pas, il ne s’énervera pas, il ne s’en attristera pas. Quoiqu’il arrive, Jan fera avec.
Car un des Jan n’a pas d’importance et il peut sans problèmes sans débarrasser. Jan ferait n’importe quoi pour protéger de Jan, et il s’agit ici en plus de le protéger de lui-même.
Car ce Jan a trop d’importance. Jan a toute l’importance du monde, face à Jan, qui n’a pas d’autre intérêt que faire briller Jan en sa comparaison.
« M. Lyons »
« Nous ne doutons bien sûr pas un seul instant de votre respect des règles, M. Lyons – et pour le prouver, veuillez me montrer vos bras, mains et jambes. »
« nous ne doutons bien sûr »
« nous ne doutons bien sûr pas »
Jan ne détourne que légèrement le regard afin de ne plus fixer Liberty dans les yeux ; c’est une habitude qu’il a prise tout simplement pour ne pas sembler étrange lors de ses conversations, et si le fait que Liberty ne soit qu’une intelligence artificielle qui ne pense pas de choses telles lui traverse rapidement l’esprit, il décide d’ignorer cette pensée.
Il décide en réalité d’ignorer toutes ses pensées, et ne fixe le vide à côté de Liberty qu’un court instant, avant d’à nouveau la regarder dans les yeux.
Jan remonte ses manches, et ouvre clairement ses mains. Il ne les regarde lui-même pas, mais il fait en sorte qu’elle puisse clairement les voir. Il ne prend pas la peine de penser à ses jambes. Il sait que cela lui suffirait.
Il la regarde dans les yeux. Dans ses yeux vides, ses yeux qui ne sont que des caméras, de drôles de caméras qui retiennent et analysent. Il n’attend pas de réaction de sa part – enfin, il en attend une tout comme il n’en attend pas. Il sait qu’il y en aura une tout autant qu’il n’y en aura pas.
Il sait qu’elle fera quelque chose, mais il est obligé de s’admettre qu’il ne sait pas quoi.
« Il est à l’intérieur de la ville strictement interdit d’infliger tout acte de violence. »
Jan, en prenant connaissance de cette règle, a pensé qu’il ne risquerait jamais d’avoir de problème avec elle, mais ce n’est que maintenant qu’il réalise en quoi le sens biaisé de la justice de Liberty, ou ceux qui se trouvent derrière elle, ne le laissera pas vivre. Il se sent révolté par ce qu’il voit comme une injustice, une atteinte à sa liberté, mais il sait, en même temps, il sait…
Que tout cela n’est que pour son bien. Car après tout, un humain sain n’aurait pas non plus laissé Jan se faire ce qu’il se faisait, s’il l’avait vu ; or Liberty l’a vu, et ne le laisse pas faire. Ce n’est que normal, après tout, même si chez un humain cela aurait été lié à des sentiments, alors que chez Liberty ce n’est lié qu’à de la pure logique, qu’à des calculs.
La seule chose anormale est que Liberty aie pu le voir en soi, mais Jan savait, après tout, qu’il était surveillé. Ce n’est que sa faute, vraiment… Car jamais n’aurait-il dû s’infliger une telle chose.
Jan, si parfait, si charismatique – comment peut-il oser faire du mal à ce Jan ? Comment peut-il oser mutiler l’image de ce bel homme ?
Bien sûr qu’il mérite punition – mérite-t-il seulement la vie ?
« nous ne doutons bien sûr pas un seul instant de votre respect des règles »
« je m’en fous je m’en fiche je m’en fous »
« nous ne doutons »
« sale pute »
« strictement interdit »
« kr je te hais »
« acte de violence
acte de violence
violence »
Jan montre ses bras et ses mains, et attend. Il ne sait pas précisément ce qu’il attend, mais il ne bouge pas – il ne rebellera pas, il ne s’énervera pas, il ne s’en attristera pas. Quoiqu’il arrive, Jan fera avec.
Car un des Jan n’a pas d’importance et il peut sans problèmes sans débarrasser. Jan ferait n’importe quoi pour protéger de Jan, et il s’agit ici en plus de le protéger de lui-même.
Car ce Jan a trop d’importance. Jan a toute l’importance du monde, face à Jan, qui n’a pas d’autre intérêt que faire briller Jan en sa comparaison.
- Jan Lyons
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Fiche de personnage
Âge: 17 ans
Origine(s): Anglais/Français
Nombres d'effractions : 1Jan Lyons - Award de celui qui prend le plus la pose sur son avatar
- Messages : 546
Date d'inscription : 10/08/2016
Appartement : Appartement 1, Résidence A